30
déc
2009
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Être libre, à quel prix ?

Ce que je veux pour mes proches et les moins proches, c’est qu’ils puissent vivre tranquillement leur vie. Je le veux aussi pour moi. On n’a pas à être dérangé par d’autres que soi-même.

Mais pourquoi ces salopes de mégères viennent-elles salir ma réputation et faire du mal à d’autres ? Faut-il qu’elles déversent leur venin sur des innocents pour oublier que leur vie crasseuse est le fruit de leur propre bêtise ? Peut-être qu’elles ressentent le besoin de se délecter du malheur des autres pour ne pas voir qu’elles ne sont pas heureuses. Ou peut-être qu’elles sont simplement mauvaises. Personnellement, je me moque de leurs commérages, je sais ce que je vaux. Mais si d’autres pour qui j’ai de l’estime n’accordent pas la même valeur à mes actes, et sont sensibles à ce genre de propos, je ne peux pas faire grand chose d’autre que de détester la méchanceté de certaines personnes.

Malheureusement, faire partie de l’élite, un peu malgré moi, en étant à Sciences Po, diminue la portée de certaines critiques que l’on peut me faire : je suis une fille qui a socialement réussi. Mais je regrette pour les autres que ce puisse être un critère de jugement. Ça m’embête que la nature humaine pousse les gens à vouloir juger sans cesse les autres, sur des critères stupides.

Quel est le tribut que l’on doit payer pour se libérer de leur aigreur, dîtes-le-moi…

sadclown

I’m in chains, you’re in chains too
I wear uniforms than, you wear uniforms too
I’m a prisoner, you’re a prisoner too, mister jailer…

Ecrit par admin dans : 3A à l'étranger | Tags :
09
déc
2009
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Cinéma thaïlandais

Citizen Dog - Pott qui écoute une boîte de sardines

Le cinéma thaïlandais produit un nombre conséquent de films : les salles au Laos ou en Thaïlande présentent plus des productions made in Thailand que des blockbusters from USA comme on aurait pu le penser au premier abord. Et si on peut penser que ça ne vaut pas le cinéma japonais, coréen ou HK, il vaut tout de même la peine d’être vu. Contrairement à ce que l’on peut penser, il y a plusieurs DVDs de films thaïlandais disponibles en France, en VOSTF, à la Fnac ou autres. Voici les films que je conseille pour se faire une idée de la (relative) diversité du cinéma thaïlandais.

  1. Le Pensionnat (Dek Hor) : l’histoire d’un garçon que ses parents envoient dans un pensionnat sombre et étrange, où il fera face à ses peurs et découvrira l’amitié. Ce n’est pas un film d’épouvante !
  2. Iron Ladies : l’histoire vraie d’une équipe de handball masculin formé par des transsexuels, travestis et gay. Drôle, émouvant, ça peut sembler caricatural mais ne l’est pas vraiment.
  3. Bangkok Love Story : un tueur à gages refuse de tuer un honnête policier et les voilà condamnés à se cacher. Un peu gnangnan sur les bords mais je n’y résiste pas !
  4. Citizen dog (Mah Nakorn) : un beau film loufoque et philosophique en même temps !
  5. One Take Only : un dealer et une étudiante qui se rencontrent, ça donne un film d’action sympathique d’Oxide Pang.
  6. Ong-Bak : probablement le film thaïlandais le plus connu en France.
  7. Ploy : le plus européen des films thaïlandais. Scène chaude, jeunesse s’abstenir !
  8. Nang Nak : une légende populaire retranscrite dans un beau film, célèbre en Thaïlande.

Bon visionnage !

Ecrit par admin dans : 3A à l'étranger |

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